BO MTGXV

vendredi 4 janvier 2008 à 20h30 sur CANAL + Sport : BIARRITZ OPB / MONTAUBAN T et G XV

Montauban à CapbretonCe mercredi, les Montalbanais sont partis au vert à Capbreton, dans les Landes, pour un stage de préparation de trois jours avant la rencontre face à Biarritz programmée vendredi soir.

Un stage auquel a été convié l'ensemble de l'effectif tarn-et-garonnais. Le centre Jean-Philippe Viard (mâchoire), l'ailier Séti Kiolé (cheville) et le pilier Bogdan Balan (mollet) occupent les bancs de l'infirmerie. L'arrière Johan Dalla-Riva et l'international canadien Mike Pyke font en revanche leur retour. L'équipe qui débutera la rencontre sera formée jeudi.

MONTAUBAN / LAURENT TRAVERS :
« Hors de question de s’endormir »02 janvier 2008 - 15 h 09 - Nicolas COUET
Etonnant quatrième à la trêve, Montauban se prépare à un déplacement périlleux à Biarritz samedi. L’entraîneur Laurent Travers garde la tête froide pour assurer au plus vite le maintien du club tarn-et-garonnais.


Laurent Travers, que peut-on vous souhaiter pour cette nouvelle année 2008 ?
On souhaite de la santé, bien sûr, et sportivement qu’on puisse se maintenir. Bien sûr qu’on espère toujours plus mais il faut rester humble et garder les pieds sur terre. Comme on le répète à longueur de journées. On est dans les trois derniers budgets du Top 14 et l’on sait que l’argent ne fait pas tout mais y contribue. En ce qui nous concerne, le but est de pérenniser le club et de continuer à construire.

Comment s’est passée la reprise ?
Pour le moment ça va. On est en plein dedans. On se prépare pour Biarritz. Il y a quelques blessures encore mais nous, on part du principe qu’il y a quinze titulaires.

Avant la trêve, vous vous êtes offert un cadeau de Noël en battant le Stade Français.
Oui mais derrière, il reste 21 journées. Ce n’est pas parce qu’on a battu le Stade Français que le maintien est acquis. Il reste 21 journées pour arriver à l’obtenir. Si l’on bat le Stade Français et que l’on perd derrière, ce n’est pas le but.

« Relancer la machine »

Quel a été votre discours lors de la reprise ?
Bien sûr qu’il y a eu des performances mais des performances, il en faut tout au long de la saison. Il est hors de question de s’endormir et se reposer là-dessus. Le plus dur à gérer a été la cassure. Il faut relancer la machine, être vigilant et surtout être capable de redémarrer.

D’autant qu’un gros match vous attend à Biarritz, samedi.
Que ce soit le Stade Français ou Biarritz, c’est ce qui se fait de mieux depuis trois ans dans les quatre premières places. On ne se fait pas d’illusions sur ce qui nous attend comme opposition.

Vous aimez les « gros ». Vous allez être servis avec des matchs face à Toulouse, Clermont, Biarritz dans les semaines à venir.
(Rires) Pour nous, l’avantage, c’est que l’on pourra au moins faire le point après ça. Faire un état des lieux en termes de résultats comptables, l’état des lieux en termes de blessures, l’état des lieux en termes de performances. Il faudra regarder où l’on en est. Après la performance, c’est l’état de notre comportement sur le terrain. Ce n’est pas non plus parce qu’il y a défaite que tout est négatif donc le plus important sera d’évaluer le comportement, l’état comptable et l’état des blessés.

« L’objectif reste le maintien »

Vos deux défaites contre des concurrents directs sonnent comme un paradoxe dans votre parcours.
On perd deux matchs à l’extérieur dont un à Bourgoin (10-. Je ne reviendrai pas dessus parce que c’est un arbitrage vidéo et que l’arbitrage a été en notre défaveur ce coup-ci alors qu’il y avait bien essai. En espérant que cela s’équilibrera sur la saison. Je n’ai rien contre le corps arbitral. On ne voit pas le ballon, on s’abstient. A Auch, nous étions absents. Il y avait la place de le remporter puisqu’on loupe un essai. Sur l’ensemble de la rencontre, il était logique qu’Auch l’emporte parce qu’on est passé à côté sur des erreurs techniques.

A l’inverse, vous êtes toujours invaincus à Sapiac.
Nous ne sommes qu’à la cinquième journée. Touchons du bois pour le rester le plus longtemps et si possible toute la saison.

Rester invaincus à domicile constitue un objectif ?
L’objectif est de se maintenir. Si l’an dernier, nous avions l’objectif de tout gagner à la maison, je pense qu’on serait tombé de haut.

« Le plus dur va être d’enchaîner »

Est-il encore trop tôt pour dresser un premier bilan ?
Après cinq journées, il est difficile de faire un bilan et un état des lieux, il faut attendre entre 13 et 15 journées pour pouvoir vraiment le dresser. Avant ces treize journées, il est hors de question de conclure quoi que ce soit. Un constat se fait surtout sur une période assez longue et jamais sur une période courte.

Ne craignez-vous pas l’enchaînement des matchs en 2008 ?
Maintenant, le plus dur va être d’enchaîner du mois de janvier jusqu’à mi-juin avec des matchs tous les week-ends. Cette période là avantage les grosses équipes qui ont un effectif important.

Biarritz a dévoilé son XV de départ pour la rencontre face à Montauban vendredi soir. Dupuy officiera à la mêlée.
Le XV de départ: Brusque - Willemse, Masi, Traille, Ngwenya - (o) Peyrelongue, (m) Dupuy - Vahafolau, Malonga, Betsen - Hall, Thion (cap) - Avril, August, Balan.

Remplaçants: Noirot, Coetzee, Dellape, Cronje, Cibray, Cabannes, Bidabé

Les arbitres:

Terrain: Didier Mene
Touches: Bernard Vals, Jean-Louis Fillon
4e et 5e arbitre: Hervé Dubes, David Passicos
Délégués: Michel Forget, Marc Daroque
Arbitre vidéo: Jean Claude Levrier

Voici l'equipe du MTG pour le match à Biarritz

1 Peyron - 2 Traversa - 3 Sa

4 Rolland - 5 Murray

6 Caballero - 8 Raynaud - 7 Diarra

9 Garcia - 10 Fauqué (cap)

11 Cassin -12 Audrin - 13 Smith - 14 Cech

15 Fortassin

Remplaçants : Arganese , Delboulbes , Blanco , Ghezal , Clarkin

Mitu , Jahouer , Jonnet , Dalla Riva

Malgré la defaite , cette equipe montre tout son potentiel et devient dangereuse ...

Biarritz s'en tire bienPlus d'infos
Top 14: Classement
Le film du matchToujours aussi laborieux, le Biarritz Olympique a énormément souffert à domicile face à Montauban avant de s'imposer finalement 10-8 vendredi soir en ouverture de la 6e journée. Les Tarn-et-Garonnais, de leur côté, sont passés tout près d'un très gros coup.

Pour Biarritz, 2008 commence comme 2007 s'était achevée, par une victoire. Pourtant, le BO n'a pas chassé en ce début d'année les doutes cumulés en début de saison. Empruntés, terriblement crispés, les Basques ont joué à se faire peur face à Montauban. Au plan comptable, ils signent pourtant une opération intéressante après cette première victoire à domicile puisqu'ils s'emparent provisoirement de la deuxième place. Pour la manière, il faudra encore repasser. A l'évidence, Biarritz ne s'est pas rassuré une semaine avant d'aller jouer son avenir européen chez les Saracens.

Mais les choses auraient pu être pires encore pour les hommes de Patrice Lagisquet de Jacques Delmas, si Fabien Fortassin avait ajusté son drop à cinq minutes de la fin du match. Malheureusement pour lui, le gaucher montalbanais ne put trouver mieux que le poteau. Les Tarn-et-Garonnais venaient de laisser passer leur chance. Ils quittent certes le Pays Basque avec un point de bonus, mais aussi (surtout?) avec une tonne de regrets, car ce BO-là, comme souvent à Aguilera, était très prenable.

Irrespirable

Bardés de bonnes intentions, les Biarrots avaient pourtant pris le match dans le bon sens en première période, bouclée avec 10 points d'avance (10-0). Profitant d'une touche non trouvée sur une pénalité adverse, ils avaient même inscrit un essai superbe, un départ au ras et une belle accélération de Julien Dupuy ayant placé Ashwin Willemse sur orbite. Mais le BO, en laissant filer la bagatelle de 12 points au pied (deux échecs de Dupuy et autant de Traille), eut le tort de ne pas se mettre complètement à l'abri.

Il allait suffire d'un ballon perdu, un de plus, pour que Montuaban place un contre meurtrier avec un premier coup de pied à suivre de Caballero puis un autre de Fortassin, lequel concluait en coin. Quatre minutes plus tard, ce même Fortassin réussissait son premier coup de pied du soir pour ramener son équipe dans le sillage d'un BO soudain bien fébrile. La dernière demi-heure, improductive mais irrespirable, allait finalement permettre à Biarritz d'éviter la catastrophe. Mais rien n'est vraiment réglé pour les coéquipiers de Jérôme Thion...

Montauban : Raynaud y a cruRédaction lesiterugby.com - vendredi 04 janvier 2008 - 23h05



Marc Raynaud ne cache pas sa déception après la courte défaite de Montauban à Biarritz. « On a raté le coche », a déclaré au micro de Canal + Sport le troisième ligne montalbanais, faisant notamment référence aux deux drops ratés en fin de match.



Marc Raynaud (troisième ligne centre de Montauban)
On a raté le coche. On les a regardé faire au début avant de nous y mettre. On a pris confiance en deuxième mi-temps, ils étaient prenables. A l'arrivée, chacun a eu sa mi-temps. Je crois qu'on mérite de gagner sur la fin de match mais c'est comme ça. On va se satisfaire de ce point de bonus défensif. Tout le monde ne ramènera pas un point d'ici. Il faut continuer ainsi.

Biarritz-Montauban:10-8Pensaient-ils aux Saracens ? Biarritz, huit jours avant un match crucial en Angleterre pour la qualification aux quarts de finale de la H-Cup, semblait en effet avoir la tête ailleurs lors de ce match d'ouverture de la sixième journée du Top 14 et n'est parvenu que péniblement à l'emporter vendredi face à Montauban. Les Basques ont néanmoins décroché leur première victoire de la saison sur leur stade d'Aguiléra, passé leur adversaire du soir au classement et réintégré le club des six prétendants à l'Europe. Montauban a arraché le point de bonus défensif.


Sans Julien Peyrelongue, forfait de dernière minute (gastro-entérite), et remplacé au pied levé par Damien Traille à l'ouverture, les Biarrots attaquaient tambour battant, monopolisant le ballon et enchaînant les temps de jeu. Julien Dupuy, promu buteur en l'absence de Dimitri Yachvili, manquait sa première tentative de pénalité puis Montauban cadenassait le jeu. L'arbitre interrompait souvent les actions et le BO ne parvenait plus à proposer grand chose.


Un contre montalbanais, le premier, aboutissait à un plaquage haut de Willemse et à une pénalité assez difficile que Fabien Fortassin manquait lui aussi. Les coups de pied de déplacement de Sébastien Fauqué ou du même Fortassin empêchaient les Basques d'occuper le terrain d'en face. Mais les Tarn-et-Garonnais devaient souvent recourir à de petites ficelles pour casser le jeu. Dupuy bénéficiait d'une deuxième pénalité mais échouait à nouveau, le ballon étant renvoyé par un poteau.


Deux minutes plus tard, Dupuy trouvait l'intervalle en sortie de mêlée et donnait à hauteur à Ashwin Willemse qui allait aplatir sans encombre (25e, 7-0). Biarritz ne donnait pas dans le génie pour autant. Mais une troisième pénalité, la plus compliquée pourtant, était offerte à Damien Traille qui la passait de près de cinquante mètres (10-0, 34e). Le centre de l'équipe de France bénéficiait avant la mi-temps de deux autres occasions de but qu'il manquait.


Biarritz vraiment à la peine

A la reprise, c'est Montauban qui se montrait plus présent sans pouvoir toutefois menacer réellement le BO. Mais un ballon d'attaque perdu par Biarritz profitait à Caballero qui tapait à suivre loin devant, Fortassin était plus rapide que Willemse et aplatissait le premier (10-5, 49e). L'arrière montalbanais, qui n'avait pas transformé son essai, réduisait ensuite un peu plus le score d'une pénalité lointaine (10-8, 54e).


Biarritz essayait de réagir mais sans véritable schéma ni inspiration. Traille manquait un drop (57e) puis une attaque au large après une échappée de Brusque se terminait par une pénalité que Dupuy tapait encore une fois sur le poteau. Le BO totalisait alors six échecs dans ses tentatives de but, avec une seule réussite. Toujours aussi laborieux, les Basques n'arrivaient à aucun moment à accélérer, se mettant au bout du compte en danger tout seuls.


Car les hommes de Laurent Labit ne pensaient naturellement qu'à arracher trois points, d'une pénalité ou d'un drop. L'occasion se présentait pour Fortassin à six minutes de la fin. Son coup de pied tombé s'écrasait sur le poteau, c'était la quatrième fois de la soirée que les perches étaient heurtées. Fauqué réitérait la même chose une minute avant le coup de sifflet, toujours sans réussite. Montauban pouvait seulement se réconforter avec le point de bonus défensif.


Jack Isaac, l'un des co-entraîneurs de Biarritz avouait à l'issue du match à la fois sa déception et l'espoir qu'il nourrissait pour le match importantissime à livrer le week-end prochain : «On ne produit pas assez de jeu, on perd trop de ballons, on n'a pas assez de volume. On a un mini-stage d'une semaine pour préparer le match des Saracens. Tout peu changer la semaine prochaine, on peut retrouver nos sensations et marquer de beaux essais.»

MONTAUBAN FROLE L’EXPLOIT A BIARRITZ
A Biarritz : Biarritz Olympique Pays Basque bat Montauban Tarn-et-Garonne XV par 10 à 8 (mi-temps : 10 à 0).

Pour Montauban : 1 essai (48e) et 1 pénalité (52e) Fortassin.

Pour Biarritz : 1 essai Willemse (25e) ; 1 transformation Dupuy et 1 pénalité Traille (33e).

Arbitre : M. Mené (Provence).

MONTAUBAN : Fortassin ; Cech (Jonnet 66e), Jahouer (Smith 49e), Audrin, Cassin ; (0) Fauqué (cap), (m) Garcia ; Diarra (Clarkin 71e), Raynaud, Caballero ; Murray, Rolland (Ghézal 49e) ; Sa (Blanco 54e), Traversa (Arganèse 49e), Peyron (Sa 77e).

BIARRITZ : Brusque ; Willemse, Masi (Bosch 74e), Cabannes (Bidabé 71e), Ngwenya ; (0) Traille, (m) Dupuy ; Malonga, Vahafolau (Cronje 74e), Betsen ; Hall (Delappe 58e), Thion (cap) ; Avril, August (Noirot 69e), Balan (Coetzee 52e).

Dans ce match de reprise, chacune des deux formations aura eu sa mi-temps favorable. La première pour les biarrots qui trouveront la solution sur un départ de Julien Dupuy conclu par le champion du monde sud-africain Ashwin Willemse et par une pénalité monumentale de Daniel Traille des 55 mètres. Autant, le premier acte avait été à l’avantage des Basques, autant le second allait l’être en faveur des Tarn-et-Garonnais. Sur un ballon de récupération, Yannick Caballero part, sur le petit côté, de ses 22 mètres, tape à suivre, presse Willemse qui manque le ballon, Fabien Fortassin poursuit au pied et arrive le premier dans l’en-but pour l’essai de l’espérance. Espoir conforté, quelques instants plus tard par une pénalité réussie des 55 mètres. Les 20 dernières minutes seront visiteuses. Dans les trois minutes finales, deux tentatives de drop de Fabien Fortassin (sur le poteau) et de Sébastien Fauqué (50 mètres) échoueront de très peu. « L’exploit était possible » disait justement l’entraîneur Laurent Travers. Plus d’une centaine d’Ultras Sapiac et membres du Club des Supporters avait fait le déplacement en car pour soutenir leurs joueurs favoris.
Rémi-Constant BELREPAYRE

Sapiacains fiers de leurs couleurs
Les drapeaux « vert et noir » ont souvent flotté dans le ciel des tribunes d'Aguiléra, vendredi soir, soutenus par les membres du Club des supporters et des Ultras Sapiac qui avaient organisé deux cars pour ce déplacement en terre basque. Des supporters qui y ont vraiment cru, en voyant les coéquipiers de Sébastien Fauqué survoler la deuxième mi-temps, refaire en grande partie leur handicap et venir mourir à deux points de leur illustre adversaire, avec deux ultimes tentatives de drop dans les derniers instants de Fabien Fortassin (sur le poteau) et Sébastien Fauqué des 50 mètres et enfin d'une faute pour finir sur Sylvain Jonnet qui ne fut pas sanctionnée. « On est quelque peu déçus. On passe si près de la victoire » reconnaissait le président du club des supporters, à l'heure du repas d'après-match sur le parking d'Aguiléra. ... Cela montre bien que tous étaient très fiers de leurs joueurs favoris. À quatre pas de là, même ambiance autour du car des Ultras Sapiac. Le toujours jeune G M et « Biquet », l'organisateur étaient très satisfaits du comportement des joueurs sapiacains. Parmi tous ces supporters, on en trouvait (beaucoup) pour contester l'arbitrage de Didier Mené. En particulier cette agression sur un Montalbanais au sol de Santiago Dellape l'international italien qui aurait mérité un « jaune » et se transforma en simple pénalité. L'absence de coup de sifflet pénalisateur durant le dernier quart d'heure, au plus fort de la domination tarn-et-garonnaise, alimentait les conversations jusque fort tard dans la nuit basque.

Des supporters qui ont quelques jours - très peu - pour se refaire une voix avant la venue des Anglais de Worcester, ce vendredi à 18 h 30, à Sapiac, en Challenge Européen. La quasi-totalité de la centaine d'inconditionnels des coéquipiers de Sébastien Fauqué sera là. Tous ne vont pas à Biarritz pour manquer un match à Sapiac ! Le MTG est, aujourd'hui, un club vraiment départemental et plus, puisque parmi ceux qui s'étaient invités au déplacement en terre basque, figuraient des personnes de Lavilledieu -du -Temple, Albias, Caussade, Bressols, Barry- d'Islemade, Cazes-Mondenard, mais aussi de Villemur/Tarn ou Villefranche-de-Rouergue pour n'en citer que quelques exemples. Tous fidèles de manière viscérale à la « cuvette », à ses traditions mais aussi à sa récente modernité. À Biarritz, ils ont beaucoup apprécié le salut des joueurs à la fin du match. Qu'est- ce que cela aurait été si trois petits points (tout à fait possibles) s'étaient inscrits en plus au tableau de marque à la rubrique visiteurs. Un pur bonheur échappé de fort peu…

Rémi-Constant Belrepayre